Voici toutes les actions que nous avons menées pour faire aboutir ce projet. Cliquez sur la flèche pour voir le descriptif de chaque action.

Nicolas Menet nous a exposé plein d’objets qui retracent l’histoire de la stéréoscopie. Il nous a expliqué comment ça fonctionne et il nous a fait essayer des stéréoscopes très anciens. Il nous a raconté l’histoire des images stéréoscopiques.

Au 5ème Lieu, nous avons pu voir différents plans de la ville, récents et anciens. Nous avons pu voir à quoi ressemblait Strasbourg autrefois, à l’époque des Romains ou au Moyen-Age. Nous avons également pu observer l’intérieur des maisons, grâce à des maquettes à tiroirs.

Notre guide, Catherine Moog, nous a fait découvrir les bâtiments de style Art Nouveau du quartier.

Nous sommes allés à l’EHPAD et nous y avons rencontré 4 personnes qui nous ont expliqué comment était leur vie autrefois dans le quartier de Neudorf. Ils nous ont raconté qu’ils jouaient beaucoup plus dehors avec leurs copains et aussi que les profs étaient beaucoup plus sévères et qu’ils donnaient des coups de règle, par exemple.

Anne-Sophie est une artiste qui fait de la peinture et des bandes dessinées. Elle a également une formation d’architecte. Elle est venue plusieurs fois en classe pour nous donner des techniques et des conseils pour dessiner les bâtiments et pour nous présenter son travail. Elle également dessiné sur les boîtes de nos maquettes.

Michèle a grandi dans le quartier Sainte Cécile. Elle était élève à l’école du Neufeld. Elle nous a raconté ses souvenirs, notamment ses entraînements de basket dans la halle du marché.

Laurent Kohler est artiste et architecte. Il nous a montré plusieurs de ses dessins et nos a donné des techniques pour dessiner. Il a dessiné sur les boîtes de nos maquettes.

Pascale Jacquet nous a raconté la vie dans le quartier du Neudorf de quand elle était petite. Elle habitait rue Eugénie, derrière l’école Sainte Anne. C’est une ancienne élève de l’école du Neufeld. Elle passait souvent devant le cinéma Scala et elle regardait les photos des films dans les vitrines. A cette époque, les bandes-annonces n’existaient pas.

Hubert Haentzler est venu dans notre classe pour nous raconter comment était la vie autrefois à l’école et dans la villa où il a grandi et où il vit encore. Il est aussi chef d’une entreprise qui vend des fruits et légumes au Marché Gare. Grâce à lui, nous avons pu ensuite visiter l’entreprise pour savoir d’où viennent les produits que nous mangeons.

Marie Beil, archiviste et chargée de l’action éducative nous a fait découvrir les plans anciens de notre école et de notre quartier.

Jean-François Fréring, travaille le bois et plein d’autres matériaux dans son atelier, rue de Châtenois. C’est juste en face de l’école. Il nous a découpé les planches pour nos boîtes. Nous avons pris les mesures pour coller et clouer les boîtes. Ensuite, nous les avons poncées et peintes avec de la peinture pour tableau noir.

Denis a grandi dans l’immeuble du 110-116 route du Polygone. Il nous a raconté comment était la vie dans le quartier autrefois. Il nous a aussi raconté des anecdotes sur le quartier et sur sa vie d’enfant, comme par exemple quand il jouait dans les ruines après la guerre.

Pascal habitait dans la cité quand il était enfant et adolescent. Il faisait des batailles de marrons dans le parc devant l’orphelinat. Il avait conclu un marché avec un vieux monsieur qui vivait dans le parc pour qu’il lui garde des marrons. En échange, Pascal lui apportait parfois de la nourriture.

Noël a passé toute son enfance dans la maison qu’habite maintenant Suzanne. Il nous a dit commet elle était autrefois et tous les aménagements qui ont été faits à son époque. Il nous a raconté que sa grand-mère faisait des grosses provisions de nourriture qu’elle stockait dans la cave. Il nous a raconté des anecdotes de sa vie d’enfant dans le quartier. Il passait beaucoup de temps à jouer dans le square du Neufeld.

Gautier Riegel est architecte. Il est venu dans notre classe pour nous apprendre le vocabulaire de l’architecture pour nos maquettes. Nous avons pris le temps de choisir les mots adaptés aux différents bâtiments que nous avons choisi pour nos maquettes. Pour sa deuxième visite, il nous a aidé à rédiger les textes de descriptions de nos maquettes.

Jean-Marc est né dans le quartier et y vit toujours. Il habite au 42 route du polygone, juste à côté de l’ancienne ferme Kientz. Il nous raconté les activités de la ferme et du maréchal ferrant qui vivait à côté de chez lui. Il nous a raconté sa vie d’enfant dans le quartier.

Gautier nous a aidé pour construire les maquettes.Mais avant, on a d’abord commencé par dessiner des prototypes de notre bâtiment pour savoir ce qu’on allait reproduire sous forme de maquette. Ensuite, M. Dijoux nous a imprimé différentes photos des maisons qui nous avions choisies et aussi des plans anciens. Nous avons collé les photos sur du carton que nous avons ensuite découpé. Nous avons rajouté des petites choses que nous avons construites avec différents matériaux (pailles, bâtons, élastiques, pâte à modeler etc.). Ensuite nous avons travaillé sur le sol, le fond et les bords.

Jean a grandi dans un immeuble de la rue Baldner. Enfant, il était très limité dans ses déplacements, car sa maman était un peu craintive. Alors il faisait la course sur le trottoir de sa rue, avec ses frères ou bien il faisait du vélo dans le jardin. Il était écolier à l’école du Neufeld.

Nous avons écrit ce que nous avons retenu pour chaque action menée. Ensuite, nous avons tapé les textes à l’ordinateur.

Nous sommes allés rendre visite à M. et Mme Hutin qui nous ont raconté l’histoire de leur quartier, comment était la vie quand ils étaient jeunes. Ils nous ont montré le bunker le long de la rue de la gravière et nous ont expliqué pourquoi la rue s’appelle comme ça. Ils nous ont expliqué qu’autrefois, il y avait plein de fermes dans le quartier et que la dernière a été détruite il n’y a pas longtemps. Nous sommes allés prendre un goûter chez Marius. C’est sa maman qui avait organisé tout ça. Après nous sommes rentrés à l’école. Un orage a éclaté pile à ce moment-là. Nous étions trempés.

Nicolas nous a montré comment fonctionne ses appareils photos spéciaux qui prennent des photos stéréoscopiques. Ensuite, il a imprimé les photos et nous avons fait des tests pour voir si ça marchait bien.

Nous nous sommes beaucoup entraînés pour lire les textes à voix haute. Il fallait faire attention à la ponctuation, à l’intonation. Il fallait rechercher les groupes de mots qui vont bien ensemble. Ca s’appelle des groupes de souffle. Il fallait faire attention à garder toujours la même énergie quand nous lisions. On a même constaté que, quand on lit avec le sourire, ça change la voix. Ca la rend plus agréable à entendre. Après, nous avons enregistré les textes avec un enregistreur.

Beaucoup de gens que nous avons rencontrés et qui nous ont aidés ont essayé de venir au vernissage de l’exposition. Nous nous sommes entraînés à bien expliquer le projet si jamais quelqu’un nous demande.

Pour que toutes les classes puissent profiter de notre travail, nos boîtes et nos cartoscopes sont exposés à l’école, dans la grande salle des conseils. Comme les enfants n’ont pas de smartphone pour écouter les audioguides, nous avons emprunté des tablettes mises à disposition par la Ville de Strasbourg pour les écoles. Grâce à ces tablettes, les élèves pourront se connecter à internet pour accéder aux audioguides.